Difficile d’introduire quelque chose comme ce blog : je n’ai pas la moindre idée de ce qu’il sera d’ici plusieurs mois. Sans doute un condensé de pensées, de réflexions sur le monde, les gens, peut-être un peu sur moi, sur Choupinne ou sur d’autres.
Sans doute y écrirais-je des nouvelles, des poèmes, peut-être y posterais-je des dessins ou d’autres réalisations que j’aurais eu le courage de terminer. Et peut-être même celles dont ce n’est pas le cas ?
Mes motivations pour la création de ce blog sont assez floues : une envie de créer, de partager, de laisser une trace de toute ce qui peut me traverser l’esprit de temps à autre. Garder un carnet de note sur la perception et l’interprétation que j’ai de mon environnement. Quelque chose que je me plairais à lire dans plusieurs années. J’aimerais aussi beaucoup en faire profiter d’autres également ! A la seule conditions que ceux-ci soient intéressés par nous, car c’est bien de cela qu’il s’agira. C’est certainement égocentrique, mais de toute façon, un blog est égocentrique par nature. En tout cas ce genre de blog.
Étrangement c’était assez facile de commencer à le créer. Pourtant il fallait absolument que le nom soit parfait, pourtant Noscobates Aurotenia m’est venu assez vite. En fait ce n’est sans doute pas parfait (et sans doute pas l’idéal pour le référencement ou pour donner l’adresse à quelqu’un de vive voix), mais ça me conviens, et je m’y habituerais.
Le nom vient d’une espèce de grenouille dendrobate “phyllobates aurotaenia”, qui outre le fait d’être plutôt jolie (et d’avoir exactement les couleur d’une salamandre sans en être une) est aussi toxique, comme d’autres du genre phyllobates. J’ai remplacé le préfixe “phyllo” (feuille) par nosco (connaitre), parce que je ne voulais pas avoir un nom de grenouille comme nom de domaine, et parce que mon blog s’articulera probablement autour de la connaissance. De moi, des autres, du monde.
En fin de compte, cette introduction est assez inutile, puisque je ne sais pas ce que j’introduis. Mais au moins les lignes générales sont posées.
– Guibole